Filtrer
Support
Éditeurs
- La Traverse (14)
- Hachette Bnf (11)
- Avant-Scene Theatre (8)
- Bac De Francais (8)
- Classiques Garnier (8)
- Librairie Theatrale (8)
- Folio (7)
- Hachette BNF (6)
- Mille Et Une Nuits (5)
- Comprendre La Litterature (4)
- Culturea (4)
- Ligaran (4)
- Omnibus (4)
- Flammarion (3)
- Hatier (3)
- Nathan (3)
- Gallimard (2)
- Hachette Education (2)
- La Comediatheque (2)
- Le Livre De Poche (2)
- Magnard (2)
- Belin éducation (1)
- Des Equateurs (1)
- Garnier (1)
- L'Arche (1)
- Larousse (1)
- Payot (1)
- Rue Des Ecoles (1)
- Studio De La Croix Des Landes (1)
- Éditions des Équateurs (1)
Langues
Georges Feydeau
-
Que l'oeuvre de Feydeau soit rattachée, non sans raison, mais un peu paresseusement, à un genre léger, populaire et aussi décrié qu'il est goûté n'a pas aidé à sa reconnaissance. Il reste que l'on ne dit pas grand-chose de l'oeuvre quand on se contente de mentionner ce genre - le vaudeville - ou de parler d'amants dans le placard et de portes qui claquent. Pas d'erreur pourtant : les portes claquent bel et bien. Mais elles claquent de telle façon que ce genre, le vaudeville donc, s'en trouve renouvelé, énergisé, accéléré (bien des scènes semblent des odes à la vitesse), poussé à son paroxysme et, en définitive, conduit à l'implosion. L'implacable mécanique souvent évoquée existe bien, et les rouages de la machinerie mise au service du comique sont admirablement huilés. Ce que l'on évoque moins souvent, c'est l'arrière-plan de l'univers de Feydeau. Or la manière dont ses pièces traduisent et véhiculent les engouements, préoccupations et inquiétudes d'une époque qui voit, ou ne voit pas, arriver la guerre mondiale et la fin d'un monde mérite d'être soulignée. La gaieté de Feydeau est indéniable, mais elle n'est pas séparable d'une sorte de folie, dont l'écriture, aussi bien que les situations, porte la marque.
Car Feydeau n'est pas (seulement) un brillant entrepreneur de spectacles : c'est un écrivain. La qualité de son dialogue, tout en apparente spontanéité, résulte d'un travail opiniâtre. Les indications scéniques parfois fascinantes qui émaillent le texte de ses pièces et décrivent avec une précision horlogère, jusqu'au vertige, la disposition des lieux et l'attitude des personnages témoignent d'une passion de la description que l'on ne rencontrera plus avant le Nouveau Roman. Pourtant, même ainsi « programmés », les personnages ne sont ni des pantins ni des automates. Autant que des intrigues trop convenues, Feydeau se défie des « types » trop conventionnels mis en scène par les vaudevillistes de son temps. Ses personnages, il va les chercher, de son propre aveu, dans la réalité ; peu désireux de faire d'eux des fantoches, il leur conserve leur personnalité, leur vitalité - et tout soudain les plonge dans des situations burlesques. On a pu les comparer à des cobayes, et leur créateur à un expérimentateur non dénué d'une certaine cruauté. Mais c'est à l'égard du langage, des langages, qu'il met à la disposition de ses créatures ou dont, par moments, il les prive, que Feydeau se montre le plus audacieusement expérimentateur. À force de répétitions, de déformations, de mélanges babéliens, de lapsus, de mal-entendus, la langue perd tout ou partie de sa fonction de communication. Les liens logiques se desserrent, ils se dissolvent, on ne s'entend plus, l'absurde triomphe. Loin de prolonger un genre réputé poussiéreux, Feydeau ouvre la voie au théâtre qu'illustreront bientôt Ionesco ou Beckett.
-
Deux jeunes femmes qui ont juré de prendre un amant si elles étaient trompées, deux sémillants noceurs tout prêts à leur rendre ce service, une volcanique Anglaise qui menace de se suicider, un Londonien à l'accent marseillais, un médecin-major retraité et sa femme, sourde comme un pot, une cocotte, des grooms et un commissaire de police : Feydeau réunit dans un hôtel tous ces personnages qui, pour la plupart, ne doivent à aucun prix se rencontrer et il les jette dans une course haletante de chambre en chambre, au milieu de portes qui claquent et de sonneries qui se déclenchent. Le matin suivant, c'est l'heure des comptes.Qui sera le dindon de la farce ?
-
Bois-d'Enghien est dans de beaux draps ! Comment réussir à se séparer de sa maîtresse Lucette, une jolie chanteuse de café-concert, pour épouser la respectable Viviane, jeune et fortunée ? Car malgré ses nombreux prétendants, Lucette reste follement éprise de son amant et fait tout pour le conserver. Qui, de Bois-d'Enghien ou de Lucette, parviendra à ses fins ? TOUT POUR COMPRENDRE - Notes lexicales - Biographie de l'auteur - Contexte littéraire - Genre de l'oeuvre - Pour mieux interpréter - Chronologie TOUT POUR RÉUSSIR - Questions sur l'oeuvre - Travaux d'écriture - Lecture de l'image GROUPEMENTS DE TEXTES - La leçon de chant - La satire au théâtre à la fin du XIX? siècle CAHIER ICONOGRAPHIQUE.
-
La puce à l'oreille
Georges Feydeau
- Le Livre De Poche
- Le Livre De Poche Theatre
- 15 Janvier 2020
- 9782253240297
Lorsque Raymonde Chandebise découvre, dans un colis adressé à son mari, une paire de bretelles oubliée dans un hôtel peu fréquentable, elle le soupçonne immédiatement d'adultère. Elle décide de lui tendre un piège et, avec la complicité de son amie Lucienne, lui donne rendez-vous anonymement dans ce même hôtel. L'époux de Lucienne tombe par hasard sur la missive et, reconnaissant l'écriture de sa femme, imagine à son tour être trompé. Quant à Chandebise, il envoie son ami Tournel au rendez-vous. Tout ce beau monde se retrouve donc à l'hôtel du Minet-Galant, à Montretout, où travaille Poche, un garçon d'étage sosie de Chandebise...
Dans ce vaudeville aux mille éclats, quiproquos, stratagèmes et mensonges se succèdent à toute allure et Feydeau démontre, une fois de plus, toute l'ampleur de son génie comique. Édition de Violaine Heyraud.
-
Cette «scène de la vie privée», comme aurait dit Balzac, avance à coup d'explosions inattendues, tel un vaudeville, et pointe avec une précision d'entomologiste les travers qui gangrènent les familles, comme une comédie de moeurs. Monsieur, Madame et Toto constituent un trio infernal et irrésistible où, en ordre décroissant de pouvoir, de Toto sept ans, à son père, veul industriel du pot de chambre, en passant par sa mère, harpie domestique pour qui la mauvaise foi est une seconde nature, se joue le combat épique et destructeur de la purgation de l'insupportable gamin. L'absurde de situations répétitives, bâties sur des riens, touche au délire, mais n'en permet pas moins le grand déballage des rancoeurs ert des ratages conjugaux. Le coup d'oeil de Feydeau sur les couples réguliers est aussi cruel qu'était inventif le panorama qu'offraient les couples irréguliers de ses grands vaudevilles.
-
« Sécurité et discrétion ! Hôtel du Libre-Échange, 220, rue de Provence ! Recommandé aux gens mariés... ensemble ou séparément !... » Telle est la publicité qui, tombée entre les mains de l'entrepreneur Pinglet, suscite chez ce dernier la folle envie de goûter enfin aux joies de l'adultère. Dans le Paris de la Belle-Époque, tromper sa femme - même quand il s'agit de l'acariâtre Angélique Pinglet - n'a toutefois rien d'aisé. Pour serrer dans ses bras la jolie Marcelle, femme de son ami et collaborateur l'architecte Paillardin, Pinglet va devoir affronter une nuit de cauchemar et, dans l'hôtel borgne où il a réussi à l'attirer, échapper à tous ceux qui ne devraient pas se trouver là : Paillardin lui-même, son ami Mathieu et ses quatre filles, la femme de chambre Victoire et le jeune Maxime, sans compter une descente de police. Si les quiproquos se poursuivent au troisième acte, grâce à une cynique inversion entre fautifs et victimes, tout rentre dans l'ordre au dénouement, Victoire constituant une coupable idéale. Mais Pinglet n'est pas prêt d'oublier l'Hôtel du Libre-Échange...
-
Dormez, je le veux !
Georges Feydeau
- Belin éducation
- Classico College - Texte Integral Et Dossier
- 9 Août 2012
- 9782701161686
Justin a trouvé un stratagème pour moins travailler : il hypnotise son maître et lui fait faire toutes ses corvées de domestique. Une comédie explosive !
-
Que fait la Môme Crevette, danseuse au Moulin-Rouge, dans le lit du respectable docteur Petypon, au lendemain d'une soirée bien arrosée Chez Maxim ? Les propos surprenants et les manières singulières de la Môme n'empêchent pas ceux et celles qui la croisent de la prendre pour Mme Petypon. Gabrielle, la véritable épouse, finira-t-elle par découvrir les infidélités de son mari ? Le tour de force de Feydeau est de maintenir le suspense et le quiproquo jusqu'au bout. Quand le demi-monde se frotte au grand monde, la rencontre ne peut être qu'explosive, mais à la façon d'une bombe à retardement, qui ne cesserait d'être mise à feu et d'éclater entre les doigts, pour la plus grande frayeur des personnages et la plus grande joie du lecteur.
-
Un vaudeville à quiproquos et à adultère, sorte de synthèse de l'art de Feydeau, qui touche également à la comédie de moeurs. Amélie est une jeune et sympathique « cocotte » de haut vol qui a délaissé son métier de domestique et connaît un début de carrière florissant. Elle accepte de passer pour la future femme du meilleur ami de son amant en titre, qui a besoin de se marier pour toucher la grosse fortune que lui a léguée son père. Cela tombe bien, son amant doit s'éloigner quelque temps et a besoin qu'on surveille sa volage Amélie. C'est l'ami qui accepte de s'en occuper... mais joue un peu trop bien son rôle. Complications, gaffes, catastrophes évitées de justesse, cachettes, trucs, vrai-faux mariage, faux-vrai divorce, et une savoureuse galerie de personnages à la fois caricaturaux et croqués sur le vif : une comtesse qui débute dans l'adultère, un prince slave très dépensier quand il s'agit de ses amours, un oncle belge, un père ancien policier rigide et amoral, et une joyeuse bande de fêtards... Un voyage théâtral comique et sans fard dans les dessous de la Belle-Époque.
-
Cela aurait pu être une nuit tranquille. Madame se couchait, Madame s'endormait, Madame rêvait... Mais au lieu de cela, Monsieur rentre, éméché, du bal des Quat'-Z-arts. Scène de ménage. Madame en appelle à sa bonne, Annette, pour témoigner en faveur de sa beauté. Scène épique ! Et l'on frappe à la porte pour annoncer la mort de la mère de Madame. Scène tragique... Les retournements de situation se succèdent et mieux vaut patienter jusqu'au baisser de rideau pour s'assurer des événements. Une fois encore, le Ciel peut attendre !
Mise en scène, choix des décors et des costumes, tempo, analyse des effets dramatiques : l'acccompagnement pédagogique permet de mettre en scène avec de jeunes élèves cette courte pièce - elle dure à peine une heure. Gilles Costaz, auteur et critique dramatique, est le meilleur guide pour mettre cette comédie en un acte dans la perspective historique du vaudeville.
Comédie (XXe siècle) recommandée pour la classe de quatrième.
Texte intégral.
-
Les pavés de l'ours, de Feydeau ; le Gora, de Courteline
Georges Feydeau
- Hatier
- Classiques & Cie College
- 24 Août 2011
- 9782218954276
En lien avec l'objet d'étude « Dénoncer les travers de la société » du programme de français en 3e, deux comédies-vaudevilles où se succèdent les quiproquos.
Bretel, le nouveau domestique de Lucien, ne comprend pas un mot de ce que lui demande son maître et fait tout à l'envers. Quant à Bobechotte, dans Le Gora, elle ne prononcera pas une seule fois correctement le mot angora durant toute la scène !
L'édition Classiques & Cie collège Soigneusement annoté, le texte de la pièce est associé à un dossier illustré, qui comprend :
- un guide de lecture (avec des repères, un parcours de l'oeuvre et un groupement de documents sur les relations entre maîtres et domestiques au XIXe siècle), - une enquête documentaire : La société française à la Belle époque. -
Tailleur pour dames
Georges Feydeau
- Librairie Theatrale
- Les Classiques Du Boulevard
- 2 Avril 2021
- 9782734906445
Pour cacher un début de liaison avec une de ses clientes, le docteur Moulineaux se lance dans une cascade de mensonges, pirouettes et dissimulations face à sa femme, sa belle-mère, le mari de sa maîtresse, l'amante de celui-ci qui fut jadis la sienne. À force de rebondissement tout se termine à la satisfaction générale. Chacun retrouve sa chacune.
-
Mais n'te promène donc pas toute nue !
Georges Feydeau
- Librairie Theatrale
- Les Classiques Du Boulevard
- 1 Février 2011
- 9782734905028
Avec Feydeau, au début du XXe siècle, le vaudeville retrouve toute sa vigueur. Il s'emploie à mettre en musique, selon une mécanique implacable de rebondissements comiques et grinçants, la bêtise et la muflerie du ménage désaccordé. Dans Mais n'te promène donc pas toute nue !, Feydeau expose la joyeuse déconfiture du mariage, pour le plus grand bonheur du spectateur voyageur.
-
Par la fenêtre et autres pièces
Georges Feydeau
- Larousse
- Petits Classiques Larousse
- 6 Février 2013
- 9782035874061
Alors qu'il est seul chez lui, Hector reçoit la visite de sa voisine d'en face, Emma, qui vient lui demander un service : l'aider à rendre son mari jaloux. En effet, elle reproche à ce dernier de l'être lui-même trop souvent, maladivement, et sans aucune raison. Pour cela, elle demande à Hector de lui faire la cour devant la fenêtre ouverte. Mais par cette même fenêtre, elle aperçoit justement son mari en train de s'entretenir avec une femme, dans laquelle Hector croit de son côté reconnaître son épouse. Emma, en colère, sort précipitamment pour les surprendre. Hector, furieux, attend son retour, prêt à se venger lui aussi et à satisfaire les volontés d'Emma.
De péripétie en péripétie, le spectateur goûte à travers cette pièce en un acte tout l'art de Feydeau, considéré à son époque comme le maître du vaudeville. -
Le système Ribadier
Georges Feydeau
- Éditions des Équateurs
- Paralleles
- 20 Novembre 2014
- 9782849903001
Eugène Ribadier a épousé Angèle dont le premier mari est mort prématurément. Le portrait de celui-ci trône cependant, omniprésent, dans le salon. Angèle a été une femme trompée. Elle suspecte son second mari d'être aussi volage que le premier, et le traque dans ses conseils d'administration ou dans les réunions de son club.
Eugène est en effet un coureur de jupons qui, pour défier la méfiance de sa femme, a mis en place un système scientifique : l'hypnose. Ainsi, le soir, il endort son épouse, la laisse allongée dans le salon et court vers de nouvelles amours. Mais voilà que débarque un ami de la famille, Thommereux qui, après avoir été follement amoureux d'Angèle et éconduit par elle, s'est exilé à Batavia. Vont se succéder une série de quiproquos tous plus cocasses les uns que les autres : qui trompe qui ? Le mari, la femme ou l'amant ? Et à ce trio impétueux, s'ajoute aussi la cour des domestiques qui ne tardent pas à entrer dans la danse.
C'est le triomphe de l'esprit français, de la légèreté, de l'humour et de l'imbroglio. Un remède hilarant contre la sinistrose ambiante.
-
Revue L'Avant-scène théâtre n.1332 : t.1333 ; occupe-toi d'Amélie
Georges Feydeau
- Avant-Scene Theatre
- Revue L'avant-scene Theatre
- 11 Octobre 2012
- 9782749812359
Marcel Courbois pensait tromper son père et empocher son héritage en annonçant de fausses fiançailles... Mais Amélie, qu'un ami lui « prête » pour jouer la fiancée se retrouve dans son lit au lendemain d'une folle soirée.
-
« C'est le mouvement qui constitue le véritable secret de Feydeau. L'auteur en était d'ailleurs parfaitement conscient puisqu'il y voyait « ...la condition essentielle du théâtre et par suite le principal don du dramaturge. » C'est pourquoi il était impitoyable pour les acteurs qui ne respectaient pas le tempo qu'il avait expressément prévus pour tel ou tel passage de ses pièces. Ce mouvement rapide est suscité par l'abondance frénétique des péripéties qui, modifiant sans cesse la situation du héros, le font passer constamment de la terreur au soulagement et vice versa. ... . D'où l'impression d'un fatum comique qui s'acharne sur eux sans qu'ils puissent s'y opposer davantage que les héros d'Eschyle ou de Sophocle, en proie à la haine des dieux. » Henry Gidel.
-
Les fiancés de Loches
Georges Feydeau
- Avant-Scene Theatre
- Avant-scene Theatre Poche
- 28 Février 2009
- 9782749811031
Gévaudan, son frère Alfred et sa soeur Laure ont quitté leur petite ville de Loches pour la capitale, où ils espèrent chacun faire un bon mariage. Croyant s'adresser à une agence matrimoniale, ils se retrouvent dans un bureau de placement qui, à leur insu, les recrute comme domestiques chez le docteur Saint-Galmier, directeur d'un établissement psychiatrique. Les trois provinciaux s'imaginent alors que ce dernier, sa fiancée Léonie et sa soeur Rachel sont les partis qu'on leur destine...
-
Frequence theatre plus - t42 - feu la mere de madame - mais n'te promene donc pas toute nue !
Georges Feydeau
- La Traverse
- 3 Mai 2010
- 9782917758885
-
Feu la mère de Madame ; piece en un acte...
Georges Feydeau
- Librairie Theatrale
- Les Classiques Du Boulevard
- 1 Janvier 1958
- 9782734900252
FEU LA MÈRE DE MADAME comédie en un acte de Georges FEYDEAU, 2f. - 2h. - Durée : 1h20 - Yvonne vient d'apprendre que sa mère est décédée et accable de reproches son mari, Lucien, qui ne fut pas toujours bon pour la pauvre femme. Mais Lucien ne pense qu'à l'héritage qui va lui permettre de payer ses dettes. Douce illusion, hélas. Il y a eu erreur. La mère de Madame est toujours bien vivante.
-
Les pavés de l'ours ; comédie en un acte
Georges Feydeau
- Librairie Theatrale
- 1 Janvier 1958
- 9782734901136
-
Revue fréquence théâtre plus n.21 : chat en poche
Georges Feydeau
- La Traverse
- Revue Frequence Theatre Plus
- 2 Juin 2004
- 9782917758618
-
NOTRE FUTUR comédie de Georges FEYDEAU 2 femmes - Durée : 30 mn Henriette de Tréville, jeune veuve, a organisé un bal au cours duquel elle espère que Monsieur de Neyriss osera se déclarer. Valentine, sa jeune cousine y arrive en avance pour lui confier son secret : elle est amoureuse et demande conseil à son aînée sans dire le nom de son prétendant. Quand elle s'y résout Henriette découvre naturellement qu'il s'agit du même homme. Scènes de jalousie, dispute. Mais le journal annonce de Monsieur de Neyriss épouse une riche héritière. Les deux femmes se réconcilient et se promettent de s'amuser le plus possible pour oublier leur futur.
-
Theatre complet t.2
Georges Feydeau
- Classiques Garnier
- Classiques Jaunes ; Litteratures Francophones
- 6 Juin 2012
- 9782812404016
Les onze pièces recueillies dans ce volume ont été créées entre 1892 et 1902. L'auteur donne, durant ces dix années, les vaudevilles les plus connus du grand public: en 1894, Un fil à lapatte et L'Hôtel du libre- échange, en 1896, Le Dindon et surtout en 1899, La Dame de chez Maxim qui obtient alors un succès mondial, succès si considérable que Feydeau jugera opportun en 1902 de lui donner une suite, La Duchesse des Folies-Bergère.